De l'abréviation la moins employé à la plus employé (ordre approximatif)
- Suppression des voyelles d'un mot "d'état de conscience" excepté du premier "a". Pour ce qui on les même consonne mais des voyelles différentes, ce sera l'intonation, les mimiques du visage et le contexte qui définie le sens : alaga-isos (d'accord avec vous) > alg-isos
Ainsi se forme les amplificateurs (qui ne sont pas une abréviation, bien bien la forme complète !). ex : alaga-iso (d'accord avec toi) > algalaga-iso (entièrement d'accord avec toi) ; alata-iso (merci) > altalata-iso (merci beaucoup) - Suppression du "ei" des variateurs de sens : logorkei (s'échapper) > logork
- Remplacement d'une proposition par un chiffre. Le choix de la voyelle n'est alors pas important, ainsi "1" pour être prix en -le- (1), -la- (10), -lu- (100) -ly-, -lia-,... Difficilement employable, cette abréviation peut se retrouver dans des textes complexes, notamment scientifique. Voilà ce que la règle donnerait en français : Le 1 petit garçon de la montagne est allé à 2 la maison de 3 son grand-père. 2 était le plus bel endroit du monde. 1 adorait 3.
- Omission des "proposeurs relationnelles" après un introducteur dans un contexte clair, particulièrement utilisé pour "os' ix" (dans) qui est presque une permission : os' ix ez klejos (dans ma chambre) > os' ez klejos
- Pour donner un ordre, simple emploie de la racine du verbe, éventuellement avec le pronom personnel sujet en suffixe. L'ordre sera plus sec : Iv hurtorena (mange) > hurt ! > hurtiv !. Cette dernière forme est également parfois employé dans des affirmations simples, sans qu'il y ai d'ordre.
- Omission de la terminaison "réelle" dans un contexte évident : Ev hurtorena (je mange) > Ev hurtor ; on' klekau ev hurtorana (hier, je mangeais) > on' klekau ev hurtor
- Omission du "ak'" quand le complément d'objet est juste avant le verbe : ev hurtorena ak' dlyaitam > ev hurtorena dlyaitam