A la base d'un mot en Galum, il y a une racine composé d'une et unique syllabe qui se forme :
1)D'une consonne (b;c;d;f;g;h;j;k;l;m;n;p;r;s;t;v;x;z;ð) ou d'un groupe de consonne (br;bl;cr;cl;...;sb;sd;..)(d'autre conbinaison sont éventuellement possible comme bn, fk... mais à éviter)
2)D'une voyelle (a;e;i;o;u;y) ou d'un groupe de voyelle (de 2 à 4 voyelle dans n'importe quel ordre)
3/D'une consonne ou d'un groupe de consonne mais cette fois il y a plus de choix (rt;tr;jk;np;...)
ex : 1) l 2) o 3)g ==> log = idée de mouvement
Se qui nous donne un lot de plus de 2000 possibilités sans compter les groupes, de quoi remplir aisément un dictionnaire.
De plus, j'essaie à chaque fois de trouver un son qui représente bien l'idée que le mot doit transmettre (sans piocher dans les mots existants). Mais bon, avec des sens abstraits tels que "penser", c'est pas toujours facile.
Maintenant que l'on a la racine, il faut lui rajouter un suffixe qui détermine la fonction du mot.
Les suffixes existants :
logur : celui qui va (éventuellement "marcheur" mais ya un autre mot pour ça)
Ensuite, pour exprimer notre "re-" de "refaire" par exemple, il suffit de doubler la racine. Cela peut s'appliquer à tous les mots, mais je le conçoit encore mal sur autres choses que des verbes...
ex : boror (faire) borboror (refaire)
le doublement de la racine ne se traduit pas toujours pas "re-" : "cutor" : payer mais "cutcutor" : rembourser
Le préfixe "ju" permet d'exprimer le contraire du sens du mot et "jue" la négation.
Les suffixes "-at" et "-ot" permettent respectivement de marquer le féminin et le masculin. Ils se placent entre la racine et les suffixes "grammaticaux" (voir liste au-dessus) et sont juste optionnels, quand on veut, par exemple, préciser que l'on parle d'une femme et non d'un homme.
Il existe un troisième type de suffixes, qui eux, se placent à la toute fin d'un mot, même après la conjugaison d'un verbe ! Il s'agit des suffixes "lei", "mei", "nei", ... qui n'ont pas de sens à proprement parler. Ils permettent de faire varier le sens d'une racine, mais de manière aléatoire d'une racine à une autre.
ex : logor (aller) --> logormei (entrer) ; logorkei (s'échapper)
cutor (payer) --> cutorjei (vendre) ; cutorlei (acheter)
Enfin, dernière subtilité, on peut combiner plusieurs racines avec un suffixe pour faire un nouveau mot.
ex : logcador : marcher (qui veut approximativement dire "aller-pied-verbe" pour"log-cad-dor)
logcadur : ... je vous laisse deviner
C'est pour cela qu'il faut faire attention au choix du groupe de consonne que l'on choisie, car certains groupes sont prononçables seuls, mais pas combiner avec une autre racine !
1)D'une consonne (b;c;d;f;g;h;j;k;l;m;n;p;r;s;t;v;x;z;ð) ou d'un groupe de consonne (br;bl;cr;cl;...;sb;sd;..)(d'autre conbinaison sont éventuellement possible comme bn, fk... mais à éviter)
2)D'une voyelle (a;e;i;o;u;y) ou d'un groupe de voyelle (de 2 à 4 voyelle dans n'importe quel ordre)
3/D'une consonne ou d'un groupe de consonne mais cette fois il y a plus de choix (rt;tr;jk;np;...)
ex : 1) l 2) o 3)g ==> log = idée de mouvement
Se qui nous donne un lot de plus de 2000 possibilités sans compter les groupes, de quoi remplir aisément un dictionnaire.
De plus, j'essaie à chaque fois de trouver un son qui représente bien l'idée que le mot doit transmettre (sans piocher dans les mots existants). Mais bon, avec des sens abstraits tels que "penser", c'est pas toujours facile.
Maintenant que l'on a la racine, il faut lui rajouter un suffixe qui détermine la fonction du mot.
Les suffixes existants :
- Spoiler:
- pas de suffixe = équivalent d’un adverbe français
or = suffixe définissant un verbe, les verbes à l’infinitif remplacent les « ation » français qui exprime le fait de
ut = suffixe définissant celui qui fait faire l’action
ur = suffixe définissant celui qui fait l’action
os = suffixe définissant le lieu où se passe l’action
on = suffixe définissant le moment où se passe l’action
il = suffixe définissant l’ensemble des chose qui ont une relation avec l’action
am = objet qui fait ou qui fait faire l’action, l’objet sera « matériel »
um = objet qui fait ou qui fait faire l’action, l’objet sera « immatériel »
ar = suffixe définissant un adjectif
logur : celui qui va (éventuellement "marcheur" mais ya un autre mot pour ça)
Ensuite, pour exprimer notre "re-" de "refaire" par exemple, il suffit de doubler la racine. Cela peut s'appliquer à tous les mots, mais je le conçoit encore mal sur autres choses que des verbes...
ex : boror (faire) borboror (refaire)
le doublement de la racine ne se traduit pas toujours pas "re-" : "cutor" : payer mais "cutcutor" : rembourser
Le préfixe "ju" permet d'exprimer le contraire du sens du mot et "jue" la négation.
Les suffixes "-at" et "-ot" permettent respectivement de marquer le féminin et le masculin. Ils se placent entre la racine et les suffixes "grammaticaux" (voir liste au-dessus) et sont juste optionnels, quand on veut, par exemple, préciser que l'on parle d'une femme et non d'un homme.
Il existe un troisième type de suffixes, qui eux, se placent à la toute fin d'un mot, même après la conjugaison d'un verbe ! Il s'agit des suffixes "lei", "mei", "nei", ... qui n'ont pas de sens à proprement parler. Ils permettent de faire varier le sens d'une racine, mais de manière aléatoire d'une racine à une autre.
ex : logor (aller) --> logormei (entrer) ; logorkei (s'échapper)
cutor (payer) --> cutorjei (vendre) ; cutorlei (acheter)
Enfin, dernière subtilité, on peut combiner plusieurs racines avec un suffixe pour faire un nouveau mot.
ex : logcador : marcher (qui veut approximativement dire "aller-pied-verbe" pour"log-cad-dor)
logcadur : ... je vous laisse deviner
C'est pour cela qu'il faut faire attention au choix du groupe de consonne que l'on choisie, car certains groupes sont prononçables seuls, mais pas combiner avec une autre racine !